En cyclisme, les défaillances les plus courantes trouvent leur origine dans des apports hydriques et énergétiques insuffisants ou inadaptés. Déshydratation, épuisement du glycogène musculaire, hypoglycémie, en sont les premiers signes visibles.
Buvez régulièrement !
Les liquides ne s’assimilent pas instantanément. Plus la quantité ingérée en une seule fois est importante, plus lente est l’assimilation. De petites quantités (de 5 à 10 cl) prises à intervalles rapprochés (toutes les 5 à 10 mn) assurent une meilleure hydratation et si la boisson est porteuse d’une forte énergie (HYDRIXIR ANTIOXYDANT, MALTO ANTIOXYDNAT, HYDRIXIR ALIMENT LIQUIDE 640) l’organisme trouve le carburant dont dépend son efficacité et la fatigue n’apparaît que beaucoup plus tardivement. Boire régulièrement est indispensable pour hydrater l’organisme et éviter l’hyperthermie (surchauffe du corps), mais également pour apporter l’énergie nécessaire à l’effort et ainsi prévenir la survenue d’une hypoglycémie. Les quantités de liquide souhaitables pendant l’effort sont de l’ordre de 0,6 litre/heure.
Utilisez une boisson adaptée à l’effort sportif
Les boissons OVERSTIM.s ne sont pas simplement des boissons « sucrées ». Les associations de glucides utilisés dans chacune des boissons (dextrose, sirop de glucose, fructose, maltodextrines…) répondent précisément aux besoins des sportifs en fonction de la durée et de l’intensité de l’effort pratiqué. Conçues sans acide citrique ni conservateur, les boissons OVERSTIM.s sont de haute qualité et sont parfaitement tolérées.
Méfiez vous des ravitaillements
Une bonne hydratation est un facteur essentiel de réussite, alors mieux vaut ne pas boire n’importe quoi ni n’importe comment. Les boissons proposées ne sont pas toujours adaptées aux efforts à fournir et l’eau pure ne permet pas de compenser les pertes minérales ni d’apporter de l’énergie au cours de l’effort.
LES 6 RÈGLES D’OR D’UN APPORT HYDRIQUE EFFICACE
1 – NE JAMAIS BOIRE PLUS DE 10 CL À LA FOIS
Plus grande est la quantité de liquide absorbée en une seule fois, plus long est le temps nécessaire à la vidange gastrique et moins efficace est la réhydratation. Pour bien assimiler, buvez une bouche pleine (deux au
maximum) à chaque fois (5 à 10cl).
2 – BOIRE DÈS LE DÉBUT DE L’EFFORT
La déshydratation commence avant même le départ (stress). En moins d’une heure, vous pouvez perdre jusqu’à 1 litre d’eau… et vos aptitudes physiques seront réduites considérablement ! N’attendez donc pas et absorbez votre première gorgée au plus vite car une
déshydratation peut rapidement s’installer.
3 – BOIRE LE PLUS RÉGULIÈREMENT POSSIBLE
Apprenez à boire régulièrement et de façon d’autant plus rapprochée que la température est élevée. Idéalement buvez une bouche pleine toutes les 5 mn. Ne dépassez pas 10 mn même par temps frais.
4 – APPRENEZ À BOIRE À L’ENTRAÎNEMENT
Vos entraînements seront de meilleure qualité et vous récupérerez mieux ! Il faut beaucoup de temps pour bien maîtriser un apport hydrique rationnel, cela s’apprend à l’entraînement.
5 – CHOISIR LA BOISSON LA MIEUX ADAPTÉE À SON PARCOURS
Les boissons OVERSTIM.s sont conçues pour assurer l’apport hydrique nécessaire dans les meilleures conditions et apporter l’énergie glucidique optimale à l’enchaînement des efforts. Suivez scrupuleusement les conseils OVERSTIM.s pour choisir vos boissons, c’est votre meilleure garantie d’un choix approprié à vos besoins.
6 – GARDER L’EAU PURE POUR S’ASPERGER OU SE RINCER LA BOUCHE
En cours d’effort, l’eau pure n’apporte pas d’énergie et favorise la fuite des minéraux en particulier le sodium. La transpiration s’accélère et la soif incite à absorber des quantités de plus en plus grandes d’eau. Cette surconsommation va encombrer les organes digestifs sans compenser la déshydratation et en rendant inopérant tout apport énergétique. La consommation d’eau pure doit rester exceptionnelle et n’est acceptable qu’à condition d’absorber simultanément un gel pour compenser les pertes énergétiques par exemple : GEL ANTIOXYDANT, ENERGIX, COUP DE FOUET, RED TONIC…